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Syndicat des cols bleus local 1208 Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys

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L’âge de la retraite ne sera pas repoussé de 60 à 62 ans

cp_FTQ_reaction-CAQ-abandonne-RRQ_2023-02-23
23 février 2023

Toutes les organisations syndicales du secteur public sont présentes aux tables de négociation et prêtes à recevoir les offres du gouvernement

Communiqué 21 février 2023
21 février 2023

Info-négo du 21 février 2023

2023-02-21 - Info-négo Front commun - FR
21 février 2023

Déclarations du gouvernement : le Front commun met les points sur les i

Le Front commun réagit vivement aux déclarations trompeuses du ministre de la Santé, Christian Dubé, et du premier ministre, François Legault, qui exhortaient aujourd’hui les syndicats à se présenter aux tables de négociation.

« C’est assez ordinaire d’entendre ces déclarations alors que les équipes de négociation sont disponibles aux tables de négociation et peinent à obtenir des dates de rencontre. Soyons très clairs : nos équipes sont prêtes, elles ont déposé à chacune des tables de négociation des propositions très concrètes de solutions et ont proposé plusieurs dates de rencontre, mais la partie patronale ne semble pas vouloir se rendre autant disponible. Au rythme des séances actuellement proposé par la partie patronale, les négociations vont s’éterniser. On voudrait rappeler au Conseil du trésor que l’année 2023 compte 12 mois et qu’à ce rythme, ces négociations vont durer trois ans! », de réagir les porte-parole du Front commun, François Enault, premier vice-président de la CSN, Éric Gingras, président de la CSQ, Magali Picard, présidente de la FTQ, et Robert Comeau, président de l’APTS.

« Plutôt que de faire des relations publiques, on souhaiterait que le gouvernement déploie autant d’énergie sur l’ensemble des tables de négociation. Doit-on comprendre qu’il n’est pas prêt et qu’il cherche à gagner du temps? Considérant l’ampleur des enjeux qui animent nos réseaux de la santé et des services sociaux, de l’éducation et de l’enseignement supérieur, le gouvernement devrait s’affairer à rapidement convenir aux tables de solutions qui pourront être déployées dans les réseaux plutôt que de consacrer ses énergies à détourner l’attention dans les médias! C’est assez ironique venant d’un gouvernement qui clame haut et fort qu’il faut sortir de “nos vieilles habitudes et façons de faire”. »

Le Front commun soutient qu’il s’agit d’un bien mauvais message à envoyer aux quelque 420 000 travailleuses et travailleurs du secteur public qu’il représente ainsi qu’à la population. Les équipes de négociation attendent toujours un calendrier de rencontres digne de ce nom pour les différentes tables.

17 février 2023

Un rejet unanime

 

2023-01-25 - Info-négo Front commun - FR
6 février 2023

NÉGOCIATIONS DU SECTEUR PUBLIC DANS L’ÉDUCATION – UN DÉPÔT PATRONAL QUI MANQUE DE SUBSTANCE

Ce lundi 19 décembre 2022 à Québec, le Comité patronal de négociation des Centres de services scolaires francophones (CPNCF) a déposé son cahier de demandes dites « sectorielles » aux syndicats du secteur de l’éducation du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP).

Selon le SCFP, ce cahier est très semblable à ceux qui ont été présentés dans le cadre des précédentes négociations de conventions collectives. Les similitudes sont telles que le comité de négociation syndical regrette qu’on n’y trouve aucune proposition concrète en lien avec les nombreux défis qui se sont ajoutés au cours des dernières années dans le réseau scolaire du Québec.

Les objectifs du CPNCF sont louables : faire face à la rareté de la main-d’œuvre, favoriser la réussite éducative de tous les élèves et accroître la flexibilité de la gestion administrative. Mais comment les atteindre?

Par exemple, vu l’aggravation du manque de main-d’œuvre, on aurait pu s’attendre à des propositions visant à améliorer l’attraction et la rétention, ce qui doit nécessairement passer par l’amélioration des conditions de travail.

Sur le front de la santé-sécurité au travail, le SCFP est déçu de ne rien trouver au sujet de l’assurance salaire et de la prévention. Le dépôt patronal est aussi muet à propos du télétravail.

Bref, le comité de négociation de la table sectorielle de l’éducation du SCFP entreprend ces négociations avec ouverture mais aurait souhaité en connaître plus sur les réelles intentions du gouvernement.

Il tentera donc d’obtenir le maximum de précisions nécessaires au cours des séances qui auront lieu dans la foulée de ce dépôt patronal.

Le comité du SCFP est composé de Richard Delisle, Sophie Pelletier, Chantal Emond et la conseillère syndicale Marie-Claude Arbour.

 

 

20 décembre 2022

Les « offres » du gouvernement au Front commun : une grave insulte pour 420 000 travailleuses et travailleuses des services publics

En savoir plus sur le site du Front commun

15 décembre 2022

Réaction du Front commun aux offres du gouvernement Appauvrir les travailleuses et les travailleurs des services publics, la pire des solutions

« Les services publics font face à une crise de main-d’œuvre sans précédent, à laquelle s’ajoute une inflation historique. Que fait le gouvernement? Il offre d’appauvrir les femmes, en majorité, et les hommes qui portent sur leurs épaules tout le poids de nos réseaux publics. » C’est en ces termes qu’ont réagi les porte-parole du Front commun, François Enault, premier vice-président de la CSN, Éric Gingras, président de la CSQ, Daniel Boyer, président de la FTQ, et Robert Comeau, président de l’APTS, après avoir pris connaissance des offres du gouvernement caquiste.

Salaires

Dans ses offres présentées ce matin aux partenaires du Front commun, le gouvernement propose des augmentations faméliques de 3 % pour la première année et de 1,5 % pour les suivantes, pour un contrat de 5 ans. Qui plus est, il fait fi de l’inflation stratosphérique actuelle en ne présentant aucune mesure permettant une protection du pouvoir d’achat. Quant au montant forfaitaire proposé de 1 000 $, il est insultant pour les femmes et les hommes qui tiennent à bout de bras les services publics puisque ces sommes ne sont versées qu’une seule fois et ne sont pas calculées lorsque vient le temps de comptabiliser les revenus de retraite et les vacances. Il ne s’agit pas d’une solution structurante pour résoudre la pénurie de main-d’œuvre.
L’offre salariale du gouvernement est non seulement inférieure à ce qui va être offert dans le privé, mais va provoquer un appauvrissement des travailleuses et des travailleurs, car les prévisions d’inflation du gouvernement sont largement supérieures à ce qui est sur la table. Alors que le gouvernement prévoit une inflation de 6,8 % en 2022, son offre de 3 % à la première année ne permettra pas aux personnes salariées de se protéger de la hausse du coût de la vie.
« Est-ce que le gouvernement est sérieux quand il affirme que les services publics sont importants? Si oui, pourquoi maintient-il les réseaux en situation d’échec? Pourquoi offre-t-il si peu sachant que les salaires des autres travailleuses et travailleurs vont augmenter davantage? Les deux dernières années de pandémie nous ont pourtant offert un cruel constat de ce qui ne tourne pas rond dans nos services publics. En mettant sur la table des conditions de travail si désavantageuses, c’est la pénurie de main-d’œuvre et tous les problèmes qu’elle engendre qu’il choisit de pérenniser », ont ajouté les porte-parole du Front commun.
Rappelons que les travailleuses et les travailleurs des services publics accusent un retard de 3,9 % de leur rémunération globale par rapport aux autres travailleuses et travailleurs québécois, un gouffre qui s’élève à 11,9 % en ce qui concerne les salaires. « Devant de tels chiffres, pensez-vous que les gens vont choisir les services publics ou des emplois offrant de meilleures conditions? Ce n’est pas au personnel des services publics de faire encore une fois les frais de la reprise économique ou de la lutte contre l’inflation. Va-t-on demander à nos membres – des femmes, à 78% – de se serrer la ceinture encore une fois pour favoriser la reprise économique? Si le gouvernement est sérieux dans sa volonté d’apporter des solutions durables pour les services à la population, il devra retourner à la table à dessin et reconsidérer ses offres », ont précisé les porte-parole.
Le Front commun revendique, d’une part, un mécanisme permanent de protection contre l’inflation et, d’autre part, un enrichissement visant un rattrapage salarial général. Ainsi, pour l’année 2023, il revendique 100 $ par semaine ou l’IPC + 2 % (selon la formule la plus avantageuse), pour 2024, l’IPC + 3 %, et finalement, pour 2025, l’IPC + 4 %.

Retraite

Le gouvernement cible de surcroît la retraite, une des dernières conditions de travail intéressantes pour les travailleuses et les travailleurs de l’État, en obligeant celles et ceux ayant 35 ans de carrière à attendre à 57 ans avant la prise de leur retraite. « Il ne s’agit pas d’une mesure de rétention, mais plutôt de détention. Cela risque de provoquer un exode prématuré des travailleuses et des travailleurs vers la retraite. » Le Front commun juge toutefois intéressante la réponse du gouvernement à nos revendications dans le but de maintenir l’expertise en place de manière volontaire.
Il s’attaque aussi au Régime de retraite des employés du gouvernement et des organismes publics (RREGOP), une mesure qui réussit tant bien que mal à retenir les personnes œuvrant depuis plus longtemps dans les réseaux. Il propose ainsi de réduire la rente du RREGOP en invoquant la récente bonification du Régime de rentes du Québec (RRQ). « Ce qu’il donne d’une main, l’employeur veut le reprendre de l’autre en prétextant qu’il est trop généreux. »

Forums patronaux et intersyndicaux

Le gouvernement revient avec des forums parallèles aux tables de négociation alors que les organisations syndicales avaient unanimement rejeté cette formule à la dernière ronde de négociations.

Conditions de travail et de pratique

Finalement, en ce qui concerne les conditions de travail, le Front commun surveillera de près les offres qui seront déposées aux diverses tables sectorielles à partir d’aujourd’hui et d’ici le congé des fêtes. « Il faut que des sommes significatives soient investies pour permettre des améliorations concrètes et durables dans les réseaux de l’éducation, de la santé et des services sociaux ainsi qu’en enseignement supérieur. Il serait impensable que le gouvernement choisisse de sabrer les conditions de travail en imposant des reculs. Ce serait complètement incohérent avec les constats généralisés concernant les services publics. Si le gouvernement souhaite redevenir un employeur de choix comme il le prétend, il doit donner le coup de barre nécessaire pour renverser la tendance. C’est l’avenir même des services publics qui en dépend. »

Statistiques pour mieux comprendre les enjeux de cette négociation

  • Moyenne salariale des employées et employés du secteur public membres du Front commun : 43 916 $;
  • Retard salarial : -11,9 %;
  • Retard de rémunération globale : -3,9 %;
  • Pourcentage de femmes parmi les membres du Front commun : 78 %.
15 décembre 2022

Publicités Radio

Le Front commun a créé deux publicités radio:

 

27 novembre 2022

Facebook en direct du dépôt le 28 octobre à Québec

Le 28 octobre prochain à Québec, le Front commun (CSN, CSQ, FTQ et APTS) déposera ses revendications au Secrétariat du Conseil du trésor. Ces revendications sont celles de 420 000 travailleuses et travailleurs en éducation, en santé et services sociaux ainsi qu’en enseignement supérieur, engagé·e·s d’une seule voix pour obtenir un enrichissement et de meilleures conditions de travail.

DIFFUSION EN DIRECT SUR FACEBOOK :
FTQ https://www.facebook.com/laFTQ

Dès 9 h 45, les élus des organisations composant le Front commun prendront la parole pour souligner cet événement marquant une étape importante de la nouvelle ronde de négociations du secteur public. Cette prise de parole sera diffusée en direct sur les pages Facebook respectives des organisations du Front commun.

 

19 octobre 2022

JOURNÉE NATIONALE DU PERSONNEL DE SOUTIEN SCOLAIRE

2022_09_29_Communiqué_CPSS
29 septembre 2022

INFO NÉGO DU FRONT COMMUN

2022-09-01 - Info-nego Front commun - FR - Numerique
2 septembre 2022

CONSIGNES APPLICABLES EN MILIEU SCOLAIRE

consignes-scolaire
2 septembre 2022

LA FTQ LANCE UNE WEBSÉRIE SUR LES RISQUES PSYCHOSOCIAUX EN MILIEUX DE TRAVAIL

La Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec (FTQ) annonce la sortie d’une websérie sur les risques psychosociaux au travail. Par l’entremise de témoignages de travailleurs et de travailleuses, les huit épisodes de la série Ça va mal à’shop abordent des enjeux concrets et proposent des solutions pour remédier aux problèmes à la source. La FTQ espère que ce projet incitera les milieux de travail à entreprendre des discussions décomplexées et sans tabous sur le sujet de la santé mentale au travail.

Voir la websérie : www.cavamalashop.com.

 

22 avril 2022

NOUVELLE STRUCTURE SALARIALE

 

19 avril 2022

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